El loco de Dios en el fin del mundo / God’s Madman at the End of the World
Novel , 2025
Random House
Pages: 448
Longlisted for the 2025 Prix Médicis Étranger, the Prix Femina Étranger and the Prix du Meilleur livre étranger
Shortlisted for the 2025 Prix Jacques Delors du Livre Européen
A nonfiction novel sprinkled with irony and genuine curiosity which explores the controversial figure of Pope Francis and the questioned role of the Church in the 21st century.
In May 2023, Javier Cercas was signing books at the Salone del Libro in Turin when a representative of the Vatican approached him with an unusual proposition: they wanted him – him of all people, an atheist anticlerical writer and dangerous intellectual, to accompany Pope Francis on a trip to Mongolia and write a book about the adventure, no holds barred. For the first time ever, the Vatican had decided to open its doors to a writer and allow him to talk to whoever he liked and ask any questions he wanted to as a member of the Pope’s close entourage.
Bearing in mind the enormous influence of the Church around the world, countless questions arise when considering a proposal of this importance: who is Jorge Bergoglio? How much truth is there in the rumours of the dark side of his past? How is the papacy dealing with the battered image of the church after the scandals of sexual abuse and corruption, together with the shortage of new priests and the loss of believers?
However, Cercas agreed to fly to Mongolia with the Pope for one fundamental, non-negotiable reason: he wanted to ask Pope Francis in person if his mother and father would be reunited after death, and convey the Pope’s exact answer to his mother, a devout Catholic at the last stage of her life.
So begins the extraordinary adventure of a godless madman who follows God’s madman to the end of the world.
“He manages to tie in his most personal obsessions with one of the basic concerns of modern society: the role of spirituality and transcendence in human life; the place of religion and the yearning for immortality...”—Miguel Aguilar, editor, Random House
“An intense and extravagant book, yes—but also a memorable one.” Sergi Pàmies, La Vanguardia
“Don’t miss it!” Daniel Fernández, La Vanguardia
“A book as extravagant as possible, a blend of chronicle and essay and biography and autobiography,” a “mishmash of genres”—and intentions, one might add—that proves utterly fascinating.” Domingo Ródena Montoya, El País
“A happy bastardization of genres.” Antonio Lucas, El Mundo
“A unique book that shines a light on the satanically obstructed chambers of the Vatican.” Jordi Gracia. El País
“Cercas displays complete command over all these formal devices […] His style, as usual, is light and casual, steering clear of emphasis […] The book tells a story and also lays bare its own making of, inviting the reader into the act of narration.” Carlos Mármol, El Español
"This non-novel, or fictionless novel, could only have been written by Javier Cercas. It ends by offering the most enthusiastic hagiography of a Pope that anyone could have ever been written. A singularly splendid book." José María Pozuelo Yvancos, ABC
“Though hard to label, this book is also a mystery novel: there’s a puzzle to unravel.” Elena Burigana, Il Giorno
In France
"Un merveilleux récit." — Didier Jacob, Le Nouvel Obs
"Et le voici embarqué dans ce drôle de voyage avec, dans ses bagages, la question que l’humanité s’est posée depuis l’origine des temps. La réponse se trouve à la fin de ce texte passionnant, à la fois page turner métaphysique, enquête savante dans les coulisses du Vatican et passionnant portrait du pape François." — Didier Jacob, Le Nouvel Obs
"Dans une forme assez voisine de celle de l’éblouissant Anatomie d’un instant, Le Fou de Dieu au bout du monde fait ainsi se croiser les genres : livre un portrait inattendu de Jorge Mario Bergoglio devenu le premier pape latino-américain et entraîne la lecture à la rencontre des catholiques de Mongolie comme dans les coulisses de la curie romaine. Tout cela est fin, virtuose, profond. L’humour n’est pas négligé. Ombres et lumières se répondent." — Christian Authier, Le Figaro Magazine
"Ce roman sans fiction, mais où l’imagination et le domaine du possible apportent un souffle rare, s’achève avec un épilogue aussi surprenant que poignant. Voici un livre qui plaira autant à ceux qui croient au Ciel qu’à ceux qui n’y croient pas." — Christian Authier, La Revue des Deux Mondes
"(...) l’écrivain va donner naissance, avec Le Fou de Dieu au bout du monde, à une œuvre hybride entre le récit, l’essai, l’autobiographie et la biographie dans une veine assez proche de son magistral Anatomie d’un instant."
"Le Fou de Dieu au bout du monde, un nouvel ouvrage inclassable, mêlant reportage dans les coulisses du Vatican, portrait de Jorge Mario Bergoglio, pape détonant qui a choisi de marcher dans les traces de St François d’Assise, et introspection d’un homme devenu écrivain parce qu’il a perdu la foi. Un roman étourdissant que Borges, son maître à penser, n’aurait pas renié." — Léonard Desbrières, Lire Magazine Littéraire
"(...) Cercas construit un texte étonnant sur Dieu, la diplomatie, le doute. C’est en un sens un journal de bord (...). C’est aussi un essai sur la foi (...). Le livre apparaît également comme une réflexion géopolitique (...). C’est encore un portrait de pape François (...). Ce faisant, Javier Cercas se raconte aussi, un peu, enfin." — Julie Malaure, LH Magazine
"Celui que les jésuites argentins surnommaient La Joconde , en raison de son âme réputée impénétrable, voit ici son tableau posthume finement éclairé, sans concession ni crucifixion, avec cette bonne foi littéraire qui arrache une larme à la fin." — Alecxandre Jadin, Philosophie Magazine
"Ce n’est pas tant un livre sur Dieu et l’au-delà qu’un long récit de voyage et de rencontres, un portrait du souverain pontife et le geste d’amour d’un fils." — Guy Abonnenc, Le Progrès, Le Dauphiné Libéré, Le Bien public, Vaucluse Matin, Le Journal de Saône et Loire
"Le récit, incroyable mais vrai, de Javier Cercas vaut largement ses heures de vols." — Famille Chrétienne
"(...) Javier Cercas prend un malin plaisir à se mettre en scène dans un roman du réel désopilant." — Eric Faye, Bastille Magazine
"Traversé par l’un des plus grands mystères de l’histoire de l’humanité, voici le projet le plus fou, brillant et drôle de cette rentrée littéraire." — Page des Libraires
"Le récit du voyage insensé et génial jusqu’en Mongolie d’un "fou sans Dieu", athée et anticlérical, en quête de réponse au sujet de la résurrection de la chair et de la vie éternelle." — Alexandre Fillon, Les Echos Week-End
"Voici Le Fou de Dieu au bout du monde, récit inclassable et passionnant. (...). Quant au lecteur, il referme bluffé ce livre à nul autre pareil, qui donne sinon à croire, du moins à penser." — François Montpezat, Les Dernières Nouvelles d’Alsace
"(...) le récit d’une rencontre inopinée, admirative et loyale, celle, comme il le dit joliment, d’un fou sans Dieu et du fou de Dieu." — Bernard Quiriny, L’Opinion
"C’est l’événement de la rentrée littéraire, ce Fou de Dieu au bout du monde. Il en donne un roman passionnant, métaphysique, théologique, picaresque et plein d’humour. On tourne avidement les pages d’un véritable roman, avec de vrais personnages, une énigme, du suspense, écrit avec un grand talent et une furieuse dose d’ironie." — Jean-Claude Vantroyen, Le Soir
"C’est un roman absolument formidable." — Laurent Goumarre, France Inter
